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mardi 21 juin 2011

Facebook : champion US des encarts publicitaires

Selon une étude eMarketer, le réseau social va devenir cette année le numéro un des encarts publicitaires aux États-Unis.

facebooklogoMark Zuckerberg, le PDG et co-fondateur de Facebook, l'a encore récemment expliqué à l'occasion de l'e-G8 Forum. Le métier de Facebook est la publicité. Un domaine dans lequel le réseau social se débrouille plutôt bien puisque eMarketer fait de lui le futur leader aux États-Unis.

Du moins, eMarketer anticipe que Facebook sera le grand gagnant sur la publicité display, à savoir les encarts publicitaires traditionnels ( avec des éléments graphiques ) que l'on retrouve sur le Net. Google reste pour sa part le champion des liens sponsorisés.

En 2011, Facebook devrait engranger 2,19 milliards de dollars via la vente de ses espaces publicitaires aux USA, soit une croissance de près de 81 % et une part de marché de 17,7 %. De quoi détrôner Yahoo! sur le display ( 13,1 % de part de marché ), le podium étant complété par Google ( 9,3 % ).

Pour 2012, Facebook devrait accroître son avance ( 19,4 % de part de marché ), tandis que Yahoo! et Google seraient presque sur un pied d'égalité ( 12,5 % et 12,3 % ). L'offensive de Google est déjà palpable du côté de YouTube avec des publicités dans les vidéos.

Analyste chez eMarketer, David Hallerman commente :
" La popularité suprême de Facebook - tant en termes de nombre de personnes que de temps qu'ils y passent - créé une pléthore d'impressions publicitaires, principalement pour sa forme unique de bannières. Et cette popularité stimule aussi les annonceurs pour ce qu'ils vont payer pour cette publicité display. "

Source:http://www.generation-nt.com/facebook-publicite-usa-display-actualite-1220041.html

jeudi 9 juin 2011

Apple : après l'iPhone et l'iPad, la révolution iCloud

Ce lundi, Steve Jobs va annoncer le service iCloud d'informatique dématérialisée. L'entreprise de Cupertino crée un nouveau front contre Amazon, Google et Microsoft. Car le «cloud computing» est en pleine expansion.

Lundi soir, Steve Jobs doit présenter le service iCloud d'Apple. À l'aide d'un accord avec les maisons de disques, l'entreprise de Cupertino va moderniser son service de musique en ligne iTunes. Les clients pourront acheter leur musique auprès d'Apple, la stocker sur Internet et l'écouter à leur guise, où ils se trouvent. Les services dits de «cloud computing», ou d'informatique dans les nuages, se développent à grand pas. C'est une nouvelle révolution de l'informatique. Elle consiste à se connecter à Internet pour accéder à ses données et à ses applications. Les particuliers n'ont donc plus besoin de les stocker sur leur PC ou leur disque dur à la maison, et les entreprises n'ont plus besoin d'investir dans des ordinateurs de grande capacité.
L'informatique s'utilise donc à la demande comme s'ouvre un robinet d'eau ou s'allume une lumière. Apple propose déjà un premier service «cloud» pour synchroniser, dans le réseau, ses contacts, ses courriels et son agenda, à partir d'un iPhone ou d'un iPad. Le service MobileMe est fort coûteux (99 dollars par an ou 79 euros depuis la France).

Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie.

Amazon a montré la voie

Google va lancer cet été le système d'exploitation gratuit pour PC, Chrome OS, conçu et tourné pour le «cloud». «Le plus grand nombre d'utilisateurs de services de cloud computing sont déjà, sans le savoir, les particuliers en utilisant des outils comme la messagerie Gmail de Google ou les services payants de stockage de données d'Amazon», explique Lew Tucker, directeur technique du cloud computing chez Cisco. Avec son offensive, Apple crée un nouveau front contre Google, Amazon et Microsoft.
L'un des plus gros fournisseurs au monde de services cloud est Amazon, le leader mondial des services culturels en ligne, avec un chiffre d'affaires estimé dans ce domaine à un milliard de dollars en 2010. L'idée originale du champion du e-commerce, qui vient d'étendre ses services au stockage de musique pour les particuliers, a été de louer les surcapacités de ses propres «fermes» d'ordinateurs. «Cela revient à louer votre appartement lorsqu'il est vide, pendant les journées de travail et lorsque vous partez en vacances», explique un expert. Tous les géants du Web suivent la voie tracée par Amazon. En termes économiques, le coût marginal est faible pour les fournisseurs de puissance de calcul et de capacités de stockage. Les recettes supplémentaires génèrent presque autant de profits. Depuis dix ans, fabricants d'ordinateurs, éditeurs de logiciels et sociétés de services en informatique rêvent d'un changement de paradigme.

Marché de 56 milliards

Grâce au développement d'Internet et surtout à cause de la crise économique, les entreprises se sont converties au cloud computing. «Après des années de germination, l'informatique dans les nuages décolle. En partie pour des raisons macroéconomiques. La crise a conduit toutes les organisations à scruter leurs dépenses. Dans ce contexte, une solution qui peut offrir davantage pour moins cher est difficile à ignorer», explique Ben Pring, vice-président du cabinet d'études Gartner. Pour l'instant, l'essentiel du marché reste réalisé par des éditeurs de logiciels. Le chiffre d'affaires du logiciel à la demande est estimé autour de 11,7 milliards de dollars en 2010 par Forrester Research. Aujourd'hui, 60% du chiffre d'affaires mondial est réalisé aux États-Unis. Mais le phénomène devrait gagner d'autres pays. Vers 2020, le marché mondial devrait atteindre 56 milliards de dollars, estime Forrester Research.
Avec environ 3 millions d'entreprises clientes dans le monde, dont un million en Europe, Google réalise entre 500 millions et 1 milliard de dollars de chiffre d'affaires dans le cloud. Enfin, Microsoft va investir 90% de son budget de R&D dans le cloud cette année, a indiqué Jean-Philippe Courtois, vice-président de Microsoft. Mais son chiffre d'affaires dans le domaine est estimé à «quelques centaines de millions de dollars par an», admet un responsable du groupe. Chacun propose sa solution. IBM, HP, Dell, Microsoft et Oracle veulent utiliser d'énormes «fermes» de serveurs pour stocker les informations et louer des puissances de calcul à leurs clients. Dans ce but, HP et Dell ont acquis des entreprises dans le stockage et la virtualisation des données, afin de concurrencer VMware, filiale d'EMC. Le marché séduit aussi des géants des télécoms comme Cisco, Ericsson et Huawei, et des acteurs spécifiques, tels Akamai, Rackspace Hosting ou Salesforce.


source: http://www.lefigaro.fr/societes/2011/06/05/04015-20110605ARTFIG00217-apple-la-revolution-icloud.php


mardi 10 mai 2011

Management du Commerce Electronique (E-commerce): E-commerce : les 6 types de clients sur les réseau...

Management du Commerce Electronique (E-commerce): E-commerce : les 6 types de clients sur les réseau...: "Une étude de l’Institut Mc Kinsey avait proposé de classer les clients présents sur les réseaux sociaux en 7 groupes. Accrocs, explorateu..."

Management du Commerce Electronique (E-commerce): E-commerce : les 6 types de clients sur les réseau...

Management du Commerce Electronique (E-commerce): E-commerce : les 6 types de clients sur les réseau...: "Une étude de l’Institut Mc Kinsey avait proposé de classer les clients présents sur les réseaux sociaux en 7 groupes. Accrocs, explorateu..."

E-commerce : les 6 types de clients sur les réseaux sociaux




Une étude de l’Institut Mc Kinsey avait proposé de classer les clients présents sur les réseaux sociaux en 7 groupes. Accrocs, explorateurs, pragmatiques, communicants, info-glaneurs, marchandeurs, monomaniaques, ces clients peuvent prendre différentes formes. Michael Brito, auteur du livre « Smart Business, Social Business: A Playbook for Social Media in Your Organization » propose lui une liste actualisée, qui regroupe ces clients en 6 catégories. La voici ici traduite en français.


Le client qui veut faire parler de lui

Ce client peut se plaindre sur Twitter ou Facebook, mais une réponse n’est peut-être pas nécessaire. En effet, dans de nombreux cas, ces clients sont à la recherche de l’attention de leurs réseaux et font généralement des déclarations comme: « J’aime mon ordinateur portable Dell, mais il est beaucoup trop lourd« , ou « Je viens de recevoir la nouvelle Freebox et elle est installée. La haute définition est géniale, mais la couleur ne correspond pas à mes meubles !« .
Dans certains cas, une entreprise peut choisir de suivre ce client sur Twitter et alors une conversation peut s’engager en commençant par un « Merci pour votre commande », ou quelque chose du genre.


Le Client passif, qui ne vous demande pas d’aide directe

Ce client est certainement en recherche d’un conseil du SAV, mais ne recherche pas activement une réponse tout de suite. Habituellement, ces clients sont assez réservés, et sont plus patients que d’autres. Ils vont probablement s’adresser à leurs communautés (amis Facebook, followers Twitter) au sujet de leur interrogation, avant de venir voir l’entreprise. Ils vont citer l’entreprise et poster des statuts comme « Mon portable Toshiba reste allumé alors que j’ai cliqué sur mise en veille, que dois-je faire ? »
Souvent, et surtout pour des produits dans le domaine de la high-tech, les clients utilisent des hashtag comme le fameux #fail. Cette pratique est avant tout américaine, mais se généralise en France, tout comme le #VDM. Dans ce cas, si votre entreprise est citée avec un hashtag pointant un « fail » ou un « problème », il est impératif qu’un community manager signale et corrige le problème, soit directement sur le réseau social en question, soit en envoyant des informations au client sur la façon d’y remédier. Ignorer un client passif peut le transformer en client déçu, abandonné, ce qui n’est jamais une bonne chose.


Le client excédé et en colère

Ce client est en colère, le dit, et a besoin d’aide immédiatement. Ces clients ont probablement exprimé leur mécontentement à plusieurs reprises en ligne, et n’ont pas reçu de réponse, ou leur problème n’a pas été résolu. Ils parlent constamment aux autres de leurs expériences négatives. Ils font des déclarations telles que « Mon internet vient encore de couper, j’en ai marre de Orange… » ou encore « XX livreur de fleur a livré en retard les fleurs pour l’anniversaire de ma mère. C’est la deuxième fois. »
Dans ce cas, les équipes de community manager devraient signaler immédiatement ce message, afin que la marque puisse s’adresser de façon préventive à ces clients, et leur offrir une promotion ou une remise sur une nouvel achat. Plus important encore, l’entreprise doit réfléchir sur l’optimisation de leurs processus afin de résoudre le problème à la racine. Si plusieurs clients remontent le même problème, alors il y a quelquechose qui ne tourne pas rond !


Le client qui collabore et veut améliorer les produits

Ce client est satisfait avec le produit, le service ou l’entreprise. Souvent, ces gens cherchent des lieux pour proposer des produits nouveaux ou des améliorations à un produit existant, un peu comme le Dell IdeaStorm et le MyStarbucksIdea. Ils font des déclarations et des recommandations aux marques comme « Il serait pas mal de proposer de nouveaux sandwichs avec du poulet« , puis mettent en copie « cachée » la société sur Twitter (comme cc: @McDonalds »). De cette façon, ils s’adressent à la marque, et utilisent le Twitter ou le Facebook comme le service client de la marque. Bien que cette remontée d’information ne nécessite pas de SAV, les clients de ce genre devraient être signalés et une attention particulière devrait leur être accordée, pour les transformer en défenseurs de votre marque. Un community manager doit commencer à construire une relation avec ces clients, et les garder de coté.


Le défenseur de la marque, le client engagé

Ce type de clients parlent d’une marque, d’un produit ou d’un service, même si il ou elle est ignoré. Ces clients n’ont pas besoin de mesures d’incitation. Ils parlent d’un produit parce qu’ils sont très heureux de celui-ci. Souvent, ils font des déclarations telles que « Vous devriez tous acheter le nouveau Sony TV 3D. Il est génial et parfait pour les jeux et regarder des films sur Blu Ray. Nous l’aimons! « . On retrouve dans cette typologie de clients les ambassadeurs de la marque, qui revendiquent l(‘utilisation de certains produits. Les départements de marketing et de relations publiques doivent collecter les adresses de ces clients, pour leur offrir du contenu exclusif, les inviter à des avants premières, leur envoyer des échantillons.


Le futur client, qui réfléchit et demande des avis

Ce client, le prospect, est une des raisons d’être des CRM. Ils peuvent être de nouveaux clients ou des clients qui envisagent une mise à jour d’un ancien produit ou service. Ces clients expliqueront leur recherche et leur questionnement comme « Je pense à passer sur un Mac. Fatigué des pannes constantes de mon PC HP. Qu’est-ce que vous en pensez ? »

Dans ce genre de cas de figure, deux entreprises sont citées, et deux entreprises doivent agir selon leur propre scénario.
En ayant listé tous ces types de clients, vous pouvez maintenant les « étiqueter » plus facilement, et pourquoi pas en faire des listes.
Source 6 Types of the Social Customer par Michael Brito.

 
Source : http://rse-pro.com/6-types-reseaux-sociaux-895

lundi 9 mai 2011

Améliorez votre pratique de l'e-marketing

Ou plus crûment : comment faire pour que vos e-mails de publicité n'aillent pas directement dans la poubelle ?
 
C'est l'objectif que se propose DOLIST, spécialiste de ce genre de médias auprès des entreprises et qui vient d'en publier les principales tendances pour 2011.


Non seulement cette étude permet de tracer les tendances de l'e-marketing à venir mais, en plus, elle livre quelques informations sur les pratiques et les stratégies des entreprises dans le domaine.

C'est ainsi par exemple qu'on apprend que plus de 6 entreprises interrogées sur 10 donnent la préférence à l'exploitation des opportunités de contact liés à leurs sites Internet.


Par contre la location de fichiers pour des envois d'e-mail est, elle, en recul de 10 points par rapport à l'année dernière. Enfin, près de 15 % des entreprises interrogées précise vouloir miser sur les réseaux sociaux pour recruter de nouveaux prospects. Cependant, d'une façon générale, qu'on on peut le voir ci-dessous, les pratiques des entreprises concernant l'obtention de leurs fichiers de contact restent très diverses et relativement dispersées.

En ce qui concerne les objectifs de leur campagne, les professionnels affirment, pour 7 sur 10 d'entre eux, vouloir viser d'abord à l'information. Cette proportion est presque de moitié plus importante que l'année dernière alors que les objectifs d'enquêtes et les sondages, eux, sont en diminution.



À noter que près de 80 % de ceux qui utilisent cet outil marketing disent veiller au taux d'ouverture de leurs messages alors que, selon DOLIST, il s'agit cependant là d'un indicateur "peu représentatif de la performance des campagnes de publicité". Par contre 63 % suivent leur taux de désabonnement et 30 % prennent en compte le nombre de plaintes déposées.



En s'n étonnant, DOLIST note également qu'à peine 10 % des investisseurs de ce domaine cherchent à connaître le retour sur investissement sur cet outil.



En ce qui concerne l'avenir, les prévisions budgétaires 2011 sont les suivantes


Comme on le voit, 1 entreprise sur 2 utilisant ce moyen envisage de réviser son budget à la hausse pour cette année. Pour compléter ce rapide panorama on peut rajouter que les annonceurs interrogés eux-mêmes considèrent, à 80 %, que la trop grande quantité d'e-mails reçus est le principal frein à l'efficacité de cet investissement. L'intégralité de cette enquête comporte de nombreuses autres données intéressantes et disponibles sur le site de DOLIST par http://www.dolist.net/pageseditos,430,top_A2280FB8,documentation,enquete,emailing.html.

Source:  http://www.comptanoo.com/_Publication/Actualite/A9207/ameliorez-votre-pratique-de-e-marketing.asp

dimanche 8 mai 2011

L'e-business aide à élargir la demande intérieure en Chine


L'e-business est déjà devenu la force vive du marché national chinois. Selon les dernières données du Centre de recherche sur l'e-business de Chine, en 2010, le chiffre d'affaires des ventes au détail en ligne a atteint 513,3 yuans, soit une augmentation de 97,3% en un an, représentant d'environ 3% du volume global des ventes au détail du pays au cours de l'année.
Les chaussures de Dongguan, les jouets de Yiwu, les textiles de Suzhou... Toutes ces marchandises ont trouvé un nouvel essor sur Internet lors de la chute des exportations à cause de la crise financière internationale. Les sites comme www.taobao.com sont devenus des ponts reliant la plus grande usine et le plus grand marché du monde.
L'achat en ligne est aussi un mode de vie des consommateurs de la nouvelle génération. Une utilisatrice de www.taobao.com explique qu'elle a dépensé plus de 40 000 yuans dans des vêtements, des meubles, des jouets, des bijoux, des assurances et des voyages. Les adeptes des achats de groupe ont joui de produits et de services beaucoup moins chers que ceux du marché, grâce aux nouvelles plateformes en ligne comme http://www.meituan.com/.
Liang Chunxiao, chef adjoint du Comité spécial de l'e-business de la Société de l'économie informatique de Chine, estime que l'e-business a renversé l'ancien mode de circulation entre la production des marchandises et le consommateur. D'un coût moins cher, plus pratique et plus ciblé, l'e-business est devenu une nouvelle source de croissance de l'économie nationale.
IDC (Internet Data Center) a trouvé que grâce à l'e-business, les modes de vente traditionnels à plusieurs échelons en Chine sont réduits à un nouveau système caractérisé par « producteur – vendeur en ligne / magasin de vente directe en ligne – nombreux consommateurs », plus efficace car simplifiant les échelons du producteur au consommateur.
Actuellement, beaucoup de PME chinoises réalisent une production sur commande et une gestion souple grâce à l'e-business. Par exemple, Suitbo, l'un des dix plus grands marchands chinois en ligne en 2010, peut produire des oreillers adaptés à la morphologie de ses clients à condition que ces derniers fournissent leur taille, leur tour de tête, leur largueur d'épaules, etc.

Source  : http://french.china.org.cn/business/txt/2011-05/07/content_22516257.htm